Dhal de lentilles corail
Me voilà rentrée d’Inde il y a peu, et je n’avais qu’une idée en tête refaire un dhal de lentilles à la maison ! Je ne sais pas vous, mais moi toutes ces saveurs me rendent dingue (bon même si la nourriture est quand même très épicée là bas) ! On a quand même eu du mal à s’y faire, surtout au petit déjeuner … Mais quel chouette voyage, vraiment. Je rentre avec des souvenirs plein la tête !
Pour mon dhal, j’ai fait une version soft au niveau du piment, mais libre à vous d’ajouter selon votre convenance. Vous pouvez servir ce plat accompagné de naan au fromage, ou des chapatis maison c’est un régal !
Ingrédients :
- 1 patate douce
- 1 c.à.s d’huile de coco
- 1 oignon
- 1 gousse d’ail
- curry
- garam massala
- piment de cayenne
- curcuma
- gingembre
- 1 c.à.s de concentré de tomates
- 400g de tomates pelées
- 400 mL de lait de coco
- 400 mL d’eau
- 400 g de lentilles corail
- sel, poivre
- 1 c.à.c de sucre de coco
- 1 c.à.s de coco râpée
- quelques brins de coriandre pour servir
- quelques noix de cajou pour servir
20mins
40mins
Nombre de parts:
Couper la patate douce en cubes, et la rôtir à la poêle dans un filet d’huile d’olive pendant 10 minutes.
Emincer l’oignon et hacher la gousse d’ail. Dans une grande cocotte faire revenir l’oignon et l’ail dans l’huile de coco et les épices (selon votre convenance) .
Ajouter les tomates pelées et le concentré. Saler, poivrer et faire revenir quelques minutes.
Ajouter le lait de coco puis les lentilles préalablement rincées 3 fois dans l’eau froide. . Ajouter le sucre, la coco râpée et l’eau. Faire cuire jusqu’à ce que les lentilles gonflent, et soient tendres. Rajouter de l’eau si besoin. Il faut que le dhal soit encore crémeux à la fin de la cuisson. A la fin de la cuisson ajouter les cubes de patates douce.
Servir avec du riz blanc, de la coriandre ciselée et des noix de cajou concassées. Bonne dégustation !
Ajouter à ma listeInspiration / réussir sa raclette
Un de mes péchés mignons, c’est le fromage. Quand j’étais petite je pouvais me nourrir uniquement de kiri. Mais avec l’âge j’ai appris à apprécier la diversité des « vrais » fromages que nous avons la chance d’avoir dans notre pays. Avec mon départ en Australie qui se rapproche, je me fais une cure de fromage, car une des choses qui va me manquer là-bas, c’est bien ça.
L’hiver et le froid qui revient, sont souvent synonymes de tartiflette, raclette et autres plats réconfortants. De mon côté la saison est ouverte.
On peut faire une raclette avec trois fois rien, mais on peut aussi prendre le temps de choisir de bons produits. Et je dois dire que c’est un point auquel j’aime attacher de l’importance. Pour une bonne raclette, vous aurez donc besoin :
- de bons fromages. Aussi simple que cela puisse paraître, mais la qualité du fromage est primordiale. Ici je suis allée chez mon fromager préféré à côté de chez moi. J’ai opté pour 4 fromages différents : le fromage à raclette suisse classique, le fromage fumé façon scarmozza, celui à la truffe ainsi qu’un morceau de morbier. Privilégiez le choix de plusieurs fromages, pour régaler tous vos convives.
- de la charcuterie. Une bonne charcuterie coupée finement : jambon blanc, mortadelle, jambon cru, viande des grisons, saucissons … que j’ai pris chez le boucher et l’épicerie italienne qui accomodera votre fromage.
- de quoi agrémenter votre plateau : fruits secs et frais, raisins, figues, noisettes et noix fraîches pour apporter une petite touche de fraîcheur.
- de bonnes pommes de terre. Ici j’ai opté pour une variété à chair ferme, qui se tiendra bien à la cuisson : des pommes de terre Ratte.
- et bien-sûr un bon verre de vin (avec modération toujours! 😉
Et maintenant à table ! Xx
Je précise que cet article n’est pas sponsorisé, les opinions exprimées sont les miennes. J’ai simplement eu envie de capturer ces moments réconfortants, et le partage d’une bonne raclette en famille.
Machine à raclette Boulanger EssentielB
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